Envoûtement, schizophrénie et démence

Ce sont les parasites les plus importants, qui en sont la cause.

Dans les cas d’envoûtements et de schizophrénie, les parasites prennent possession du corps et de l’esprit de la personne. Ils la manipulent comme ils veulent. La personne est sous une emprise extérieure et ses comportements sont tout à fait illogiques et anormaux. 

 

Dans le cas de démence le corps mental est totalement vampirisé par des parasites, au-dessus de la tête. Ils ne cherchent pas à manipuler la personne, mais ils se nourrissent des énergies de son corps mental. Le résultat est le même, la personne ne maitrise plus ses comportements.

Ce sujet est détaillé dans le livre « Harmonisation Energétique des Personnes ». Toutefois le thérapeute ne peut exercer ce nettoyage en toute confiance, qu’après avoir participé aux stages de formation. 

 

Un nettoyage complet du stagiaire, un apprentissage des niveaux de protection et une expérimentation progressive des parasites les plus importants, sont indispensables. Il n’y a aucun danger quand la procédure prévue est suivie. Inversement jouer à l’apprenti sorcier sans formation pourrait conduire le stagiaire à être victime des parasites aussi.

 

 

Un envoûtement peut se produire quand un être extérieur pénètre à l’intérieur de la personne et prend possession de ses fonctions. Certains envoûtements ne sont pas permanents et la prise de contrôle peut être effectuée occasionnellement ou à distance, par des implants.

Au même titre qu’il existe des esprits de la nature positifs, des anges, archanges et saintes présences, toujours prêts à rendre service, il existe des esprits négatifs toujours prêts à profiter et abuser des autres (en particulier lors des rituels de magie noire). Toutefois il s’installent uniquement quand des circonstances particulières le permettent, ou le provoquent : usage de drogues, abus d’alcool, exercice de magie noire, pratique de soins énergétiques sans savoir d’où viennent les énergies (Reiki), rituels reliant à des forces sans savoir lesquelles (franc-maçonnerie), rituels supposés animistes ou chamaniques sans connaître l’origine des esprits intervenants (marabouts africains…).

 

 Envoûtement par une âme en peine : une personne défunte pénètre dans une personne vivante pour la manipuler. Il n’est possible que si l’âme en peine envoûtante se trouve elle-même sous l’emprise d’un parasite manipulateur qui a agi avec elle durant sa vie (magie noire), et qui cherche à manipuler une autre personne pour continuer sa vie et son activité.

 

Envoûtement par de grands parasites (schizophrénie, possession) : la personne ne se comporte pas du tout de manière autonome et logique. Elle change de comportement anormalement et peut faire des crises incompréhensibles, irrationnelles. Certaines peuvent être dangereuses pour elles-mêmes et autrui au point qu’elles doivent être enfermées en hôpital psychiatrique. Les seuls traitements connus et utilisés sont des neuroleptiques ou les psychotropes, autrement dit des « endormeurs », mais ils ne résolvent rien. Les psychiatres, qui font de longues études sur le comportement humain, sont peu efficaces dans les hôpitaux psychiatriques. Ils le seraient plus dans les prisons, car là se trouvent des personnes en manque de repère ou d’éducation, qui ont besoin d’être recadrées et rééduquées. Dans les hôpitaux psychiatriques, seuls les curothérapeutes ou « désenvoûteurs » peuvent libérer les malades.

 

 

Envoûtement par liaison à des égrégores négatifs : plus de 90 % des pratiquantes de Reiki sont parasitées par des esprits qui pondent en elles et qui leur confèrent une certaine énergie en échange de cette gestation. Les personnes en question ont une impression de ballonnement, car elles nourrissent intérieurement les fœtus de parasites. Elles les diffusent aux autres personnes lorsqu’elles font des soins. Il suffit de demander à ces personnes d’où provient l’énergie qu’elles confèrent ou selon quels principes elles agissent. Leur réponse sera « qu’il s’agit de l’énergie de l’univers », mais sans savoir exactement de quelle énergie il est question. 

Les seules pratiques positives utilisent les énergies de la Raie Manta (Rei ki) qui est un grand esprit de l’eau de mer et qui peut soigner les problèmes liés au système lymphatique et au plasma (équivalant à l’eau de mer dessalée = plasma de Quinton).

Les francs-maçons se réfèrent à des histoires anciennes véridiques (Salomon, templiers…) mais se relient par leurs rituels à des forces négatives (esprits d’Orion symbolisés par le grand G). Ils ignorent totalement d’où viennent leurs rituels et quels sont les effets. Ils ne font que répéter des pseudos traditions anciennes. Ils contribuent à influencer négativement des décideurs sans s’en rendre compte…  

La Démence : est un vampirisme du corps mental.

Il ne s’agit pas, d’une fatalité, mais bien d’une maladie provoquée par des parasites. Ils sont assez tenaces mais moins agressifs que ceux occasionnant la schizophrénie ou l’envoûtement. La personne atteinte de démence est parasitée de manière directe par un parasite qui se nourrit de l’énergie de son corps mental. 

 

Son corps mental est tout petit, de couleur bleu foncé au centre des corps. Le déparasitage est facile à faire en curothérapie. Ensuite cela demande du temps pour rétablir un état normal, car en général le parasitage est en cours depuis longtemps, quand il est mis en évidence. 

Outre le corps mental dévitalisé, le thalamus est devenu inactif, le cervelet est au ralenti, etc. L’internement ne sert strictement à rien. Il ne fait que laisser continuer les choses, et la personne finira ses jours dans le même état.

 

Les pseudos vaccins du Corona provoquent quasiment la même chose. On s’aperçoit qu’un parasite en forme de piment se trouve à l’intérieur du corps mental et s’en nourrit. 

   La Curothérapie est une technique active sur les maladies « psychiatriques ». 

Celles-ci sont soit occasionnées par vampirisme (parasites), soit par l’accumulation de problématiques émotives ou mentales (dépression ou burn-out). Généralisée, la curothérapie réduirait de plus de 90 % le nombre des malades et les dépenses occasionnées. Le traitement des dépressions et des maladies psychiatriques constitue actuellement le plus gros budget de dépenses de santé en France en 2019 (22,6 milliards d’euros par an), bien avant les maladies cardio-vasculaires (16,2 milliards d’euros), le cancer (16,1 milliards d’euros), le diabète (7,9 milliards d’euros) et les maladies neurologiques dégénératives : Alzheimer, Parkinson et autres (6,9 milliards d’euros).


Isabelle Durand-Zaleski, professeure de médecine, docteure en économie, responsable de l’unité URC ECO (AP-HP) déclare le 1 septembre 2023 sur fondation-fondamental.org

« En 2012, nous estimions les dépenses de santé mentale à 109 milliards d’euros. En 2023, ces coûts bondissent pour atteindre 163 milliards d’euros, soit une hausse de 50%. 

Cette très forte augmentation témoigne de l’impact majeur des maladies mentales sur notre société, et en particulier sur la qualité de vie des patients et de leurs proches.

Nous travaillons à partir des données fournies par l’Assurance Maladie pour l’ensemble de la population ; dans cette nouvelle étude, nous avons pu prendre en compte les indépendants, qui ont été rattachés à l’Assurance Maladie en 2020. Nous savons également mieux quantifier les coûts informels des maladies mentales, notamment en ce qui concerne leur impact sur les proches aidants. 

En 2020, le coût direct du cancer était de 21 milliards d’euros et 18 milliards pour les maladies cardiovasculaires. Il faut rappeler que ces chiffres, fournis par l’Assurance Maladie, ne concernent que les coûts directs de ces maladies, et seulement pour le système de soins. Il faut donc les comparer au coût direct des maladies mentales en France pour la même année : 23 milliards d’euros. Les maladies psychiatriques représentent donc le premier poste de dépenses de l’Assurance Maladie. » 

 

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